Kevin, nous sommes chanceux de lire tes billets personnels. Finalement tes tracasseries furent un mal pour un bien car tu nous donnes l'occasion de mieux te connaître.
Les 3 thèmes que tu abordes font écho à certaines de mes réflexions, celle sur l'enfance en particulier.
Mon fils de 15 ans m'a dernièrement fait part de la nostalgie de son enfance, pas si lointaine pourtant. En pleine réflexion sur ses choix d'orientation, il se rappelle que sa seule préoccupation quand il était à l'école élémentaire c'était de choisir des baskets qui courent vite, et cette insouciance lui manque déjà! Comme je le comprends.
PS : le complexe du pain de mie est une anecdote savoureuse.
Merci beaucoup Aline pour ton soutien ! au fond je crois que c'est le but de la démarche, faire remonter les souvenirs personnels de chacun, comme c'est le cas pour toi. Et C'est souvent en parlant des anecdotes les plus intimes que l'on touche au plus universel. J'ai toujours trouvé ça fascinant dans l'écriture.
Je me fais souvent cette même réflexion sur l’enfance. Parfois j’ai envie de courir voire taper un sprint sans raison, dehors. Enfant, je l’aurais fait sans même y réfléchir. Adulte, je ne le fais pas car je pense au regard des autres (alors qu’à la campagne, il n’y a personne). 🙃
Dans la même veine, je me dis souvent qu’entrer dans le monde du travail nous lisse. On perd souvent nos petites particularités pour nous conformer aux attentes de la société.
Merci Patrick ! j'ai eu le texte de Gary en tête, celui que tu m'a fait découvrir cette semaine, en postant aujourd'hui. "Saisir la morsure de l'absolu", je crois que c'est le but ultime du projet
Kevin, nous sommes chanceux de lire tes billets personnels. Finalement tes tracasseries furent un mal pour un bien car tu nous donnes l'occasion de mieux te connaître.
Les 3 thèmes que tu abordes font écho à certaines de mes réflexions, celle sur l'enfance en particulier.
Mon fils de 15 ans m'a dernièrement fait part de la nostalgie de son enfance, pas si lointaine pourtant. En pleine réflexion sur ses choix d'orientation, il se rappelle que sa seule préoccupation quand il était à l'école élémentaire c'était de choisir des baskets qui courent vite, et cette insouciance lui manque déjà! Comme je le comprends.
PS : le complexe du pain de mie est une anecdote savoureuse.
Merci beaucoup Aline pour ton soutien ! au fond je crois que c'est le but de la démarche, faire remonter les souvenirs personnels de chacun, comme c'est le cas pour toi. Et C'est souvent en parlant des anecdotes les plus intimes que l'on touche au plus universel. J'ai toujours trouvé ça fascinant dans l'écriture.
Je me fais souvent cette même réflexion sur l’enfance. Parfois j’ai envie de courir voire taper un sprint sans raison, dehors. Enfant, je l’aurais fait sans même y réfléchir. Adulte, je ne le fais pas car je pense au regard des autres (alors qu’à la campagne, il n’y a personne). 🙃
Dans la même veine, je me dis souvent qu’entrer dans le monde du travail nous lisse. On perd souvent nos petites particularités pour nous conformer aux attentes de la société.
Merci Margaux pour ton partage !
Merci pour ces partages ! Et tu n'as rien à envier à la prose de Houellebecq...
Merci Virginie, je crois que si quand même (en tout cas pour ses premiers romans que j'aime beaucoup, pas du tout en phase avec ses derniers)
Wow Merci Kevin. "Courir de vie" & la tranche parasol ✍️✍️✍️. Je suis tout poétisé pour la journée.
Merci Patrick ! j'ai eu le texte de Gary en tête, celui que tu m'a fait découvrir cette semaine, en postant aujourd'hui. "Saisir la morsure de l'absolu", je crois que c'est le but ultime du projet
Ici pour ceux qui lisent les coms : https://umanz.substack.com/p/big-texty-by-umanz-patrick-kervern-b03